Cérémonie du 11 novembre

10 novembre 2016

Ce Vendredi 11 NOVEMBRE 2016 avaient lieu les cérémonies commémorant le 98ème anniversaire de la signature de l'Armistice de 1918.

Notre Président le Général Alain ROCHE étant absent (éloigné) et le Vice Président , le Médecin Général Louis BIARD étant excusé, c'est le Commissaire Général Alain GILBERT, ancien Président, qui nous représentait, accompagné par les membres du bureau ,  le Dr André ALLAND, Vice Président,  Mme Monique MARTINEU, secrétaire /Trésorière,  Mr Jean Claude BERNARD , Mr Jean Jacques AYZAC,  et  Monsieur Guy LORRAIN, Porte Drapeau.

       

 

 

Etaient également présents à ces cérémonies,Mme Claudette GARDETTE,  L'Amiral Eric SCHERER, le Colonel Pascal DUFOURT, le Colonel Gilles MICHEL,Mr André ORSET-BUISSON,  et Mr Thierry CORNILLET .

La première cérémonie s'est déroulée au carré militaire du  cimetière Saint LAZARE avec dépôt de gerbes.

 

 

Après cette cérémonie, et après un rassemblement place de la mairie, tous les participants se sont dirigés en direction du Monument aux morts de la ville de MONTELIMAR .

   

Mr Franck REYNIER, Député Mairie a lu le message du Sercétaire d'Etat aux Anciens Combattants auprès du Ministre de la défense, et vous en trouverez ci-dessous la teneur.

"Le 11 novembre 1918 annonçait la fin des combats que personne n'osait plus espérer. Cette date mettait fin au long cortège de morts, de blessés, de mutilés, de traumatisés, de veuves et d'orphelins qui accompagnait la Grande Guerre depuis plus de quatre ans.

Le Centenaire du premier conflit mondial est l'occasion pour les Françaises et les Français de commémorer cette journée avec une émotion particulière, tant cette histoire est liée pour chacune et chacun d'entre nous à une histoire familiale.

Commémorer le 11 novembre, c'est répondre à la nécessité du souvenir, de l'hommage aux morts et de l'expression de notre reconnaissance. L'année mémorielle 2017 en sera une nouvelle occasion alors que nous nous apprêtons à commémorer l'offensive du Chemin des Dames, à témoigner notre amitié aux États-Unis, entrés en guerre le 6 avril 1917, et aux Canadiens qui se sont illustrés dans la prise de Vimy le 9 avril de cette même année.

Commémorer le 11 novembre, c'est aussi comprendre les droits des anciens combattants, hérités de cette guerre et l'indispensable structure d'aide, de soutien et d'accompagnement.

Créé dans l'urgence des combats en 1916, l'Office national des mutilés réformés qui deviendra l'Office national des anciens combattants et victimes de guerre, et dont nous célébrons le centenaire cette année, remplit toujours, un siècle plus tard, ses missions historiques de reconnaissance, de solidarité et de réparation au profit de toutes les générations combattantes, de la Seconde Guerre mondiale aux opérations extérieures, en passant par les soldats engagés en Indochine et en  Afrique du Nord.

Soucieux de pérenniser et d'inscrire dans la pierre l'hommage rendu chaque 11 novembre aux Morts pour la France dans les théâtres extérieurs, le Président de la République a décidé qu'un monument, dont les travaux seront lancés en 2017 à Paris, sera dédié à ces femmes et ces hommes qui ont payé de leur vie leur engagement pour la défense de notre pays et de ses valeurs. Ce futur Haut-lieu de la mémoire nationale entend témoigner à la jeune génération combattante la reconnaissance éternelle de la Nation et rappeler aux Françaises et Français que la liberté dont ils jouissent est aussi due à l'engagement de ces femmes et de ces hommes qui, jusqu'au sacrifice de leur vie, sont prêts à la défendre.

Veillons à ce qu'aucun de nos enfants ne l'ignore en poursuivant l'indispensable travail de mémoire."

Après cette allocution,  des gerbes furent déposées par les associations patriotiques, avec en particulier, celle déposée par les enfants des écoles,celle des retraités militaires par Mr Claude KINOSKI et le Colonel Pascal DUFOURT, celle déposée par Mr jean Jacques AYZAC, celle déposée par l'Amiral SCHERER et celle de la SMLH déposée par le Commissaire général Alain GILBERT et Mme Monique MARTINEU.

 

                                                              

 

 

                                                                       

 

 

 

 

Retour aux articles